Les caractères des clairières entre Sarthe et Loir

publié le 7 décembre 2015 (modifié le 29 décembre 2016)

Un contexte géologique défavorable qui induit cependant une organisation paysagère structurée

Carte géologique de l'unité paysagère des clairières entre Sarthe et Loir en grand format (nouvelle fenêtre)
Carte géologique de l’unité paysagère des clairières entre Sarthe et Loir



Des sols pauvres
Les formations principales sur l’unité, d’origine sédimentaire, appartiennent aux assises du Secondaire et du Tertiaire de la bordure occidentale du Bassin parisien. La majorité des sols se développe donc sur des sables. Ce sont des sols pauvres, légers et très sensibles à la sécheresse. Plusieurs ensembles se distinguent nettement sur la carte ci-dessus qui sont liés aux éléments structuraux :

  • Le Bélinois, constitué de calcaires jurassiques qui affleurent à la faveur d’un bombement anticlinal de direction NNESSW
  • La plaine sableuse cénomanienne (crétacé) qui prolonge le Bélinois vers le Sud et le Nord-Ouest
  • Les plateaux crayeux et siliceux (éocène) qui occupent d’une part toute la partie est, et d’autre part le quart sud-ouest
    Sur ces plateaux l’action conjuguée des accidents de direction armoricaine NW-SE et de l’anticlinal du Bélinois a induit : l’effondrement de grabens (fossé tectonique d’effondrement entre des failles normales. Le compartiment surélevé par rapport au graben est appelé « horst ») dans lesquels se sont installés de petits bassins lacustres à la fin de l’Eocène moyen le relèvement d’autres compartiments responsables de l’affleurement du Cénomanien au sommet de ces plateaux, plus ou moins entaillés par des thalwegs
  • Les terrasses des principales vallées sont rares et peu développées, celles de la vallée de la Sarthe notamment sont très réduites

La spécificité du synclinal de Sablé-sur-Sarthe
Le synclinal de Sablé-sur-Sarthe, (pli dont le coeur est constitué par les couches les plus récentes) affleure en limite d’unité, où la formation des grès de Gahard dessine la fin du pli géologique autour de Solesmes. L’extension réelle de cette large plaine à substratum jurassique, qui s’étend vers l’Est au-delà de Malicorne ainsi qu’au Nord de la vallée de la Sarthe, est en partie masquée par un grand placage alluvial qui la traverse en écharpe du Nord-Est au Sud-Ouest, jalonnant un ancien cours de la Sarthe.

Des matériaux nobles exploités
Les calcaires du coteau nord (rive droite) de la Sarthe ont été exploités : Carrière de marbre à Juigne-sur-Sarthe (lieu-dit Port Etroit), carrières d’extractions du calcaire de Parcé à Avoise, fours à chaux … Les argiles dits d’Ecommoy (Cénomanien basal) ont été autrefois exploitées pour la poterie et la fabrication de briques et de tuiles, qui se retrouvent dans le bâti rural. Les argiles du Callovien ont été utilisées pour les célèbres "faïences de Malicorne".

Enduits de couleur ocre, brique et tuile donnent leurs chaudes tonalités au bâti rural et racontent le contexte géologique (Saint-Biez-en-Belin & La Chapelle-d'Aligné (STAP72)) en grand format (nouvelle fenêtre)
Enduits de couleur ocre, brique et tuile donnent leurs chaudes tonalités au bâti rural et racontent le contexte géologique (Saint-Biez-en-Belin & La Chapelle-d’Aligné (STAP72))



Ce contexte géologique induit aussi l’exploitation de sables dans des carrières (petites gravières qui exploitaient les niveaux les plus grossiers, graviers quartzeux). La majorité d’entre elles sont abandonnées, ouvertes de façon intermittente, ou encore reconverties en plan d’eau de loisirs, ou privatifs (cf. chapitre sur les dynamiques paysagères).

Plan d'eau de loisirs après reconversion d'un site d'extraction (Fillé-sur-Sarthe) en grand format (nouvelle fenêtre)
Plan d’eau de loisirs après reconversion d’un site d’extraction (Fillé-sur-Sarthe)



Des boisements en points hauts, des surfaces cultivées sur les pentes douces
Ces fondements géologiques induisent par ailleurs un certain systématisme sur l’ensemble de l’unité avec :

  • des boisements de résineux et pinèdes sur les sables éocènes sur les hauteurs du plateau, à l’exception de quelques affleurements de grès roussard
  • des clairières agricoles (grandes cultures, cultures spécialisées comme de l’arboriculture, polyculture-élevage) sur les sables calcaires du crétacé, sur les pentes induites par le jeu du réseau hydrographique
Clairières agricoles soulignées de crêtes boisées (Aubigné-Racan) en grand format (nouvelle fenêtre)
Clairières agricoles soulignées de crêtes boisées (Aubigné-Racan)

Des moutonnements doux induits par le réseau dense des vallons

Carte du relief et du réseau hydrographique de l'unité paysagère des clairières entre Sarthe et Loir en grand format (nouvelle fenêtre)
Carte du relief et du réseau hydrographique de l’unité paysagère des clairières entre Sarthe et Loir



Un chevelu hydrographique dense induisant un moutonnement léger du relief
La carte ci-dessus illustre parfaitement l’importance du chevelu hydrographique qui irrigue ce plateau et le modèle en de légers moutonnements, souvent absorbés par le couvert arboré. Deux bassins versants s’identifient :

  • Vers la Sarthe, en amont via l’Huisne, deux rivières principales impactent le plateau : le Dué qui l’incise d’une cinquantaine de mètres et le Narais qui l’incurve doucement d’une vingtaine de mètres seulement. Avec des pentes très étirées, ils génèrent tout deux des moutonnements relativement doux. Ce réseau est conforté en amont par un chevelu hydraulique dense, irriguant la plaine de la Sarthe
  • Vers le Loir : Deux petits ruisseaux incisent très légèrement le plateau (les ruisseaux de Carpentras et du Boulay). La vallée de l’Aune représente en revanche à l’échelle de l’unité un évènement important, ondulant au cœur de la plaine sablonneuse qui prolonge le Bélinois vers le sud, la rivière y déploie un réseau hydrographique au chevelu important en éventail

Des fonds de vallons plats et bocagers
En fonction de la configuration des talwegs et vallons, les fonds plus humides sont principalement investis par des prairies bocagères ou parfois des peupleraies, et les cours d’eau soulignés par une ripisylve dessinant ainsi leurs cours. Les haies bocagères arbustives et arborées structurent, dessinent le parcellaire, cloisonnent le paysage. Les peupleraies, bien adaptées aux milieux humides, se développent. Installées sur de trop vastes surfaces, elles peuvent à court terme engendrer une fermeture visuelle de la vallée.

Vallon du Riboux (affluent de la Sarthe au niveau de Malicorne-sur-Sarthe) relief lisible et fond de vallon densément végétalisé fermant le paysage (Bousse) en grand format (nouvelle fenêtre)
Vallon du Riboux (affluent de la Sarthe au niveau de Malicorne-sur-Sarthe) relief lisible et fond de vallon densément végétalisé fermant le paysage (Bousse)



Un paysage finalement « organisé » qui induit phénomènes d’alternance et dynamisme visuel
Au regard de cette analyse, malgré une première impression de paysage confus du fait de la juxtaposition de clairières d’échelles différentes, cette unité paysagère se lit suivant une organisation structurée qui semble s’étager en 4 strates :

  • Boisements et pinèdes sur les sables sur les hauteurs
  • Cultures sur les pentes des moutonnements
  • Pieds de vallon bocager et prairial
  • Ripisylve soulignant les rivières et cours d’eau
L'exemple de cette vue de Bousse, implanté sur le ruisseau de la Fontaine du Rouleboeuf, depuis la RD12, illustre parfaitement cette organisation en grand format (nouvelle fenêtre)
L’exemple de cette vue de Bousse, implanté sur le ruisseau de la Fontaine du Rouleboeuf, depuis la RD12, illustre parfaitement cette organisation



Cette configuration particulière induit des phénomènes d’alternance entre :

  • les paysages fermés, densément végétalisés des points hauts et des fonds de vallons aux vues plutôt courtes
  • les pentes douces cultivées caractérisées par de longues ouvertures visuelles jouant de covisibilités d’une butte à l’autre. La limite boisée au loin reste un repère identitaire de l’unité des clairières entre Sarthe et Loir

Des motifs végétaux identitaires

Les forêts et bois dominés par les résineux
(Source CRPF)
L’unité paysagère des clairières entre Sarthe et Loir compte un nombre important de bois et forêts. Si la majorité d’entre eux sont implantés sur des sols pauvres sableux (forêts de Courcelles, Malpaire…, bois de Vaugautier, Loudon, Saint Hubert, d’Augonet, du Camp d’Auvours…), les formations qui se situent en limite nord-est de l’unité, à l’interface avec l’unité paysagère du plateau calaisien (Forêts de Vibraye et de la Pierre, Bois des Loges et de Marchevert) bénéficient de sols forestiers de qualité.
Ainsi sur l’unité paysagère des clairières entre Sarthe et Loir, la sylviculture a su tirer profit de ces sols pauvres. Le pin maritime en futaie régulière domine, ponctuellement associé à des pins laricio et sylvestres. Leurs silhouettes graphiques caractéristiques, l’écorce sombre de leur tronc et leur persistance définissent le caractère paysager principal de ces formations qui s’identifient
de loin et ce d’autant plus qu’elles sont implantées sur les points hauts. En frange nord-est de l’unité, le chêne domine les formations boisées.
Depuis l’extérieur, ces bois s’apparentent à des écrans visuels successifs donnant beaucoup de rythmes et de profondeur au paysage. Ils instaurent une dynamique visuelle très forte. Plus que de simples relais visuels, ils donnent au paysage son échelle.

Effets d'écrans des lisières, diversité des ambiances lumineuses, des sous-bois entre bois de feuillus et pinèdes… les boisements et forêts de l'unité sont une constante paysagère et présentent une grande diversité en grand format (nouvelle fenêtre)
Effets d’écrans des lisières, diversité des ambiances lumineuses, des sous-bois entre bois de feuillus et pinèdes… les boisements et forêts de l’unité sont une constante paysagère et présentent une grande diversité



La composition des massifs induit une diversité des ambiances au cœur de ces bois et forêts :

  • des forêts de feuillus (chênes, châtaigniers) avec des troncs fins et élancés et un sous-bois généralement très entretenu, qui les valorise : tapis de feuilles, de graminées, de mousses, quelques fougères et arbrisseaux. Ces formations proposent une ambiance sombre et fraîche en été, lumineuse et graphique en hiver, une forte opacité de la lisière, mais une transparence à l’intérieur de la forêt
  • des forêts de pins sur des tapis de fougères, de molinies ou encore sur un sous étage feuillus : rythme très graphique des troncs des pins sur un tapis alternativement vert, roux ou doré selon les saisons. Ces formations induisent une lumière constante, transparence (lisière et intérieur) et sont dominées par l’importance du graphisme des troncs en toute saison

Ponctuation et animations par les arbres isolés : noyers, pommiers, poiriers …
Le long des routes, aux abords des anciennes fermes, au milieu des parcelles de grandes cultures ou des prairies, la présence d’arbres isolés nourriciers anime et ponctue le paysage. Motif paysager récurrent, ces arbres fruitiers (noyers, pommiers, poiriers…) développent leur silhouette caractéristique et facilement identifiable et constituent des arbres repères dans le paysage.

Arbres fruitiers en points de repère et d'animation, silhouette caractéristique permettant de les identifier en grand format (nouvelle fenêtre)
Arbres fruitiers en points de repère et d’animation, silhouette caractéristique permettant de les identifier



Sous influence du Loir, l’arboriculture fruitière développe ses vergers principalement sur le flanc sud-ouest de l’unité même si quelques parcelles se retrouvent ponctuellement au gré des expositions et terrains favorables dans l’ensemble de l’unité. Le châtaignier est quant à lui présent sur la frange sud-est de l’unité.

Un bâti rural dispersé très dense

Un bâti traditionnel cossu aux couleurs chaudes
Les sables jaunes clairs de la vallée de la Sarthe ont donné aux enduits certaines nuances caractéristiques. Ils contribuent aux couleurs chaudes qui animent les paysages de l’unité. « La ferme traditionnelle s’est bâtie dos aux intempéries, à proximité immédiate d’un point d’eau. Les développements des exploitations au fil des siècles ont donné au simple bordage, la forme
traditionnelle en U ou en L, le puits prenant place au centre de la cour. Les ouvertures sont fréquemment encadrées de briques jointoyées. La couverture est en tuile plate. » (Source : Architectures rurales en Sarthe – Vallée de la Sarthe – CAUE 72)

Croquis illustrant les caractéristiques architecturales (volumes et détails de construction) du bâti rural (source : CAUE de la Sarthe) en grand format (nouvelle fenêtre)
Croquis illustrant les caractéristiques architecturales (volumes et détails de construction) du bâti rural (source : CAUE de la Sarthe)

Siège d'exploitation à Mansigné, confrontation du bâti ancien et récent : contraste des couleurs, textures et volumes en grand format (nouvelle fenêtre)
Siège d’exploitation à Mansigné, confrontation du bâti ancien et récent : contraste des couleurs, textures et volumes



Un bâti rural traditionnel préservé
« Dans le bâti ancien, les granges étaient peu fréquentes, du fait de productions insuffisantes pour nécessiter un bâtiment de stockage. Les fermes dont l’activité agricole perdure sont aujourd’hui entourées de grands hangars agricoles, dont l’intégration paysagère pourrait être facilitée par les nombreuses formations arborées (haies, bois) et les vues souvent courtes. Nombre de ces fermes ont été détournées de leur usage originel et sont restaurées et habitées, permettant ainsi une préservation de ce patrimoine vernaculaire. » (Source : CERESA. Atlas des paysages de la Sarthe. Conseil Général de la Sarthe, DDE de la Sarthe, DIREN Pays de la Loire, 2005)

Exemples de bâti rural restauré pour un usage résidentiel et non agricole (Pontvallain) en grand format (nouvelle fenêtre)
Exemples de bâti rural restauré pour un usage résidentiel et non agricole (Pontvallain)



Une forte densité du bâti rural, induisant une multitude de points de repères
Sur le plateau, aux franges des bois, dans les talwegs … la dispersion du bâti rural ancien est impressionnante et confortée aujourd’hui par quelques constructions récentes. Ce constat n’est pas réservé aux secteurs sous influence mancelle ou sabolienne, il résulte bien d’une dispersion ancestrale du bâti et induit un jeu de relais visuels très dense, pouvant accroître la confusion visuelle des clairières, investie de petits bois, de lignes bocagères, d’arbres isolés…

Fortes densités du bâti dispersé, confortée par les constructions récentes (Cérans-Foulletourte) en grand format (nouvelle fenêtre)
Fortes densités du bâti dispersé, confortée par les constructions récentes (Cérans-Foulletourte)

Une dominance de bourgs, de plaine et de plateau

L’unité paysagère des clairières entre Sarthe et Loir est jalonnée de nombreux bourgs. Ceux-ci animent les paysages et les impactent par la qualité de leur coeur ancien à l’architecture maitrisée et identitaire, mais aussi par leurs extensions résidentielles et d’activités … Ils contribuent à l’animation du paysage de l’unité, ponctuant le paysage de points de repère facilement identifiables à la silhouette des clochers toujours différente. Les bourgs de plaine et plateau sont les plus représentatifs de l’unité. Ils présentent souvent une structure initiale en étoile, et semblent se diffuser sur les reliefs très légers, le long des axes de desserte, et ce, d’autant plus que l’influence du Mans ou de Sablé-sur-Sarthe les impacte.

Silhouette d'Arthezé : les extensions récentes se diffusent sans réelle logique, masquant le centre historique, seul le clocher du coeur ancien domine en grand format (nouvelle fenêtre)
Silhouette d’Arthezé : les extensions récentes se diffusent sans réelle logique, masquant le centre historique, seul le clocher du coeur ancien domine



D’autres typologies de bourgs se retrouvent sur l’unité paysagère, quelques bourgs de coteaux, bourgs de vallons, bourgs « forestiers » … plutôt caractéristiques d’une sous-unité. Si l’ensemble de ces bourgs et leur développement constituent des caractères identitaires de l’unité paysagère, ils sont développés dans la partie dynamique, notamment ceux sous influence mancelle ainsi que Sablé-sur-Sarthe.

Ponctuation et animation par des châteaux au cœur de parcs arborés

Implantés généralement en lisière des bois et forêts, dominant les revers de moutonnements pour profiter de vues dégagées, les châteaux ou manoirs s’identifient par leur volume imposant, leur architecture très travaillée et la couleur souvent claire de leur façade contrastant avec l’ardoise de leur toiture. Les parcs semblent prolonger le tissu boisé sur lequel ils s’appuient et dessinent un cadre autour de l’édifice. Caractère identitaire de l’unité, ces éléments de ponctuation et d’animation du paysage se retrouvent préférentiellement aux abords de la vallée de la Sarthe et de l’Aune bénéficiant des longues perspectives offertes par ces vallées.

Château de la Touche, en appui sur le couvert boisé de la butte, dominant le paysage agricole qui s'ouvre à ses pieds (Mansigné) en grand format (nouvelle fenêtre)
Château de la Touche, en appui sur le couvert boisé de la butte, dominant le paysage agricole qui s’ouvre à ses pieds (Mansigné)

Des infrastructures majeures dans ce paysage de bois et clairières

De grandes infrastructures principalement autoroutières A11 et A28, ferrées, départementales (RD 323, 338, 357 – ex routes nationales) et de réseaux électriques aériens impactent les paysages soit directement par les ouvrages nécessaires soit par les activités qu’elles induisent. Elles contribuent au développement économique de ce territoire avec l’implantation de grandes
zones d’activités ou d’équipements structurants par exemple. Si ces infrastructures constituent des caractères identitaires de l’unité paysagère, elles sont développées dans la partie dynamique.

Les anciennes routes nationales, axe de desserte majeur pendant longtemps ont fortement impacté le développement des bourgs qu'elles traversent, créant une brèche au coeur de celui-ci. L'axe devient prioritaire sur le bourg, le transit sur la vie locale, même si cela permet un dynamisme économique et commerçant – RD 323 au Guécélard et à Cérans-Foulletourte en grand format (nouvelle fenêtre)
Les anciennes routes nationales, axe de desserte majeur pendant longtemps ont fortement impacté le développement des bourgs qu’elles traversent, créant une brèche au coeur de celui-ci. L’axe devient prioritaire sur le bourg, le transit sur la vie locale, même si cela permet un dynamisme économique et commerçant – RD 323 au Guécélard et à Cérans-Foulletourte

Maillage des pylônes électriques qui se densifie à l'approche de l'agglomération mancelle (Téloché) en grand format (nouvelle fenêtre)
Maillage des pylônes électriques qui se densifie à l’approche de l’agglomération mancelle (Téloché)

Pour aller plus loin sur le patrimoine culturel et naturel

Patrimoine culturel :

Patrimoine naturel :

Sources bibliographiques

  • Pays de la vallée du Loir. Charte architecturale et paysagère. 2012.
  • J.-P. LARUE, T. GOVIN. Notice de la carte géologique N° 0393N – Ecomoy & N° 0392N – La Flèche
  • 1/50000ème et « Contribution à l’étude des formations superficielles de la boutonnière du Bélinois ». Sarthe, 2008.
  • CERESA. Atlas des paysages de la Sarthe. Conseil Général de la Sarthe, DDE de la Sarthe, DIREN Pays de la Loire, 2005.
  • CAUE de la Sarthe. Architectures rurales en Sarthe, Vallée de la Sarthe & Bélinois.1991.