Maintenir la qualité et la diversité des paysages ruraux comme capital d’attractivité
Maintenir le réseau de chemins creux dans le bocage tout en respectant l’activité agricole
Les chemins creux participent fortement à l’attractivité des paysages bocagers. Leur maintien doit être privilégié tout en prenant en compte la multiplicité des usages : passage d’engins agricoles, gestion du bétail et accessibilité des chemins de randonnée. L’enjeu de préserver le bocage est d’autant plus important que les sites patrimoniaux souvent en promontoire ou à l’appui de vallées (Sainte Suzanne, collines vendéennes, châteaux de la Loire…) donnent à voir l’écrin paysager dans lequel ils s’inscrivent.
Assurer la découverte des terroirs viticoles

Développer les « chemins de traverse » thématiques pour valoriser la diversité des paysages régionaux
Si les principaux sites patrimoniaux sont reconnus, il y a des territoires qui ne valorisent pas leur dimension patrimoniale. Il y a sur ces territoires en « creux » un véritable enjeu de renouer avec son identité paysagère et ses patrimoines. Cela implique souvent une gestion globale des équilibres et des complémentarités entre économie et patrimoine ainsi qu’une coordination des réseaux de découverte. A titre d’exemple il pourrait être intéressant de relier les Alpes Mancelles à la vallée de l’Erdre en traversant les territoires des marches de Bretagne ou de traverser la Vendée en partant des collines du haut bocage pour aller au marais poitevin.