La côte vendéenne
Il en résulte de véritables alternances dans les paysages côtiers entre des grands ensembles dunaires côtiers quasi sauvages comme celui qui enchâsse le Havre du Payré et des côtes urbanisées dominant l’estran. Cette perception d’alternances entre ensembles naturels et paysages urbains se prolonge jusque sur l’île de Noirmoutier qui reprend cette configuration de la côte dans l’océan avec le Gois, chaussée submersible, qui la lie au continent. Seule l’île d’Yeu se distingue par ses ambiances parfois bretonnes dans sa structuration des éléments de paysage qui font l’identité de la côte vendéenne. Sous forte pression urbaine et sous l’influence de dynamiques naturelles qui continuent de modeler le littoral, les paysages de la côte vendéenne concentrent de forts enjeux du fait notamment de leur attractivité. Le continuum d’hôtelleries de plein air et d’infrastructures ludiques sur toute la bande intermédiaire littoral-rétrolittoral, sans typicité et sans recherche architecturale a un impact visuel très fort, accentué en dehors de la saison touristique.
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