Carte des limites et des continuités de l’unité paysagère (partie Nord)

Carte des limites et des continuités de l’unité paysagère (partie Sud)

Description des limites

Une ouverture sur l’océan à l’ouest avec le dessin côtier comme limite terrestre (Pornic)

A l’ouest, l’unité paysagère de la côte bretonne se caractérise par une ouverture sur l’océan. Le paysage "terrestre" se termine sur une côte très diversifiée. Entre la côte rocheuse découpée avec des falaises plus ou moins prononcées et les vastes cordons dunaires, le littoral présente sur cette unité des paysages très variés.

Les ondulations de la côte dessinent des baies, rades … qui s’accompagnent de covisibilités marquantes : Rade du Croisic, Baie du Pouliguen, Estuaire ligérien et Baie de Bourgneuf. Dans la traversée de l’estuaire ligérien, le pont de Saint-Nazaire constitue une limite graphique de l’unité paysagère.

Jeux de covisibilités sur l’estuaire de la Loire, d’une rive à l’autre reliée par le Pont de Saint-Nazaire (Saint-Brévin-les-Pins)

A l’est, l’unité est limitée par une frange urbaine plus ou moins diffuse. Elle s’accompagne en général d’un cordon boisé ou de zones de friches souvent liées à de la déprise agricole. La route bleue constitue par ailleurs ponctuellement une limite souvent franche à cette urbanisation. Rupture fonctionnelle et physique, cette voie se retrouve parfois au coeur de zones d’extensions urbaines, notamment au niveau des échangeurs.

La route bleue et les boisements qui marquent une limite nette dans le paysage (Saint-Brévin-les-Pins)

Les continuités paysagères vers les départements voisins

Au nord, la limite régionale est purement administrative. On observe une continuité de l’unité de la côte bretonne méridionale avec celle de la Côte de Damgan à Pénestin, estuaire de la Vilaine du département du Morbihan.

Correspondance avec les atlas de paysages précédents

L’unité paysagère de la côte bretonne méridionale correspond peu ou prou à l’unité dite « La côte urbanisée » de l’Atlas des paysages de Loire-Atlantique de 2010. Les adaptations des limites à l’ouest notamment sont à la marge, dans un souci de simplification des tracés demandée par la maîtrise d’ouvrage pour prendre en compte la lisibilité régionale.
La modification du nom répond à la logique retenue dans l’atlas de paysages de la Région des Pays-de-La-Loire qui a pour ambition en termes de dénomination d’associer un mot décrivant le type de paysage (bocage, plateau, vallée…) et un mot décrivant la localisation (Anjou Maine, Vendée, Haut-Anjou…).

Consulter la carte interactive de correspondance entre l’atlas de paysages des Pays de la Loire et les atlas de paysages départementaux précédents.

Lien vers les atlas de paysages précédents ou voisins

Consulter l’Atlas de paysages de Loire-Atlantique de 2011
Consulter l’Atlas des paysages de Morbihan