Les unités paysagères concernées

publié le 24 avril 2014 (modifié le 21 février 2019)

La champagne de Conlie

D’emprise réduite cette unité paysagère exprime les caractères identitaires des paysages de Champagne avec un grand patchwork ouvert sur une plaine calcaire quasi horizontale. Du fait de la petite surface de l’unité, les horizons sont fermés par les reliefs des unités voisines.

Les plaines d’Alençon et du Saosnois

Usuellement appelée plaine, cette unité paysagère de grands champs ouverts est en fait relativement ondulée. Elle s’appuie sur un relief de cuesta avec vallées plus humides souvent ourlées d’un petit réseau bocager spécifique.

Le perche sarthois et l’Huisne

Si elle correspond bien aux ambiances de campagne ouverte de la famille, cette unité paysagère se distingue par sa variété : elle alterne les jeux de collines souvent boisées (caractéristique du Perche) et la présence de la vallée de l’Huisne au large fond ouvert et plat.

Le plateau calaisien

Cette unité paysagère s’appuie sur un plateau calcaire ouvert par de grandes cultures et incisé de vallées secondaires plus encaissées, habitées et végétalisées débouchant vers la Braye ou Le Loir.

Les gâtines tourangelles

Cette unité paysagère répond dans ses caractères au plateau calaisien ; elle en est le pendant paysager au sud de la vallée du Loir.

La plaine du Bas Poitou

Vaste étendue ouverte très faiblement ondulée, cette unité paysagère présente la caractéristique unique dans la région de ne pas avoir de réseau hydrographique apparent. Les alignements d’arbres au bord des routes, les infrastructures et les bourgs constituent les seules animations de ces paysages.


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